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De quoi parle-t-on quand on parle de NeuroMarketing ?
- septembre 2013
- Posté par Etienne
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La force et la faiblesse d’un nouveau concept, c’est que chacun peut le définir à sa guise : nous prenons le parti de sortir le NeuroMarketing d’une définition trop restrictive.
Aujourd’hui le terme NeuroMarketing est essentiellement utilisé pour définir l’évaluation de matériel de communication via des techniques d’imagerie :
- soit par la mesure d’une activité cérébrale : Électro-encéphalographie (EEG), Imagerie par résonance Magnétique fonctionnelle, etc.
- soit par la mesure d’une activité physiologique : conductance cutanée, dilatation pupillaire, latence des temps de réaction, etc.
Ces techniques, passionnantes pour quiconque cherche à comprendre le cerveau, apportent malheureusement peu d’enseignements pratiques et opérationnels pour les directions marketing et communication. (cf : L’imagerie cérébrale ? Bien sûr, mais pas ici et pas maintenant…)
C’est pourquoi nous choisissons de définir NeuroMarketing comme l’utilisation des enseignements des Neurosciences (au sens large) pour optimiser le taux de conversion des actions marketing et communication.
Par Neurosciences au sens large, nous entendons toutes les disciplines permettant d’expliquer, prédire et influencer les comportements.
Psychologie cognitive, psychologie évolutionniste et économie comportementale sont par exemple des disciplines suffisamment solides aujourd’hui pour fournir aux équipes marketing et communication des enseignements précieux, inédits et contre-intuitifs.
Ainsi défini, le NeuroMarketing nous permet de mieux comprendre, de mieux prédire et au final de mieux influencer les comportements des consommateurs ou des citoyens.
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