-
Marketing, Communication et la malédiction des petits rendements
- juin 2013
- Posté par Etienne
- 0 commentaire
Ventes, clicks, engagement, participation réelle ou virtuelle, newsletter, formulaire, coupons…
L’évaluation du mix marketing/communication est plus que jamais liée à l’influence des comportements, à la capacité à générer une action.
Les modèles classiques tels que AIDA, apportent des réponses prédictives mais nécessitent de franchir une série d’étapes couteuses (notoriété, information, image, préférence…) avant de pouvoir influencer l’action.
A l’opposé du spectre, les techniques de vente ont prouvé leur efficacité en one-to-one mais ne peuvent pas être généralisées en un modèle prédictif.
Au final, les directions marketing et communication sont souvent amenées à célébrer des performances de l’ordre du pour-cent quand il s’agit d’indicateurs liés à l’action.
Pour aller plus loin, nous devons concentrer notre attention sur le centre des comportements et de la prise de décision : le cerveau.
Lors des 25 dernières années, nous avons davantage appris sur le fonctionnement du cerveau et sur les mécanismes de prise de décision que lors des 2 500 ans qui ont précédé.
Neurosciences, psychologie cognitive, psychologie évolutionniste et économie comportementale sont des disciplines aujourd’hui suffisamment solides pour fournir aux équipes marketing et communication des enseignements précieux, inédits et contre-intuitifs.
Très concrètement, 95% de nos comportements sont contrôlés par des processus inconscients : tel est l’enseignement majeur des neurosciences.
Or, 90% de vos actions marketing ciblent la partie consciente des consommateurs, leur rationalité, leur capacité à agir en fonction de ce qui est le mieux pour eux : tel est l’enseignement majeur de l’observation des approches marketing et communication, toutes catégories confondues.
90% du budget pour influencer 5% de la prise de décision: on comprend mieux la réalité des petits rendements sur les indicateurs liés à l’action.
Peut-on influencer les 95% ?
Oui, grâce au NeuroMarketing : il s’agit de concentrer nos efforts sur les mécaniques de l’attention, de la mémorisation et de la prise de décision automatique.
Peut-on influencer les 95% solutions dans des contraintes de temps, d’argent et de ressources optimisées ?
Oui, grâce au NeuroMarketing Opérationnel : il s’agit de mettre des applications pratiques du NeuroMarketing au service des réalités des organisations.
Envie d’en savoir davantage ? Les posts suivants vous guident dans la découverte du NeuroMarketing Opérationnel. Vous pouvez aussi nous contacter.
commentaires